SERONS-NOUS JUGES PAR NOTRE CAPACITE D’AIMER NOS VILLAGES?

M. Fopetio apporte quelques éléments de réponse. Après avoir pris conscience du potentiel que regorge nos forêts vierges, il décide de quitter la capitale pour honorer nos ancêtres, un retour aux sources, s’installe au village en plein foret.
La petite histoire commence en 2010, il investit sur l’achat d’une cinquantaine d’hectares, construit un très beau bâtiment en bambou. A vous de juger les images, pour moi c’est la plus belle maison au monde. Conscient du potentiel énergétique pour transformer ces produits, créer la richesse, la valeur ajoutée, il investit ces économies dans la construction et l’électrification de ces campements pour donner un cadre adéquat à son personnel.
2 ans après, le constat est sans appel, plus de lumière, les poteaux électriques sont tous tombés par manque d’entretien. Nous sommes en 2016, l’agence d’électrification n’a donné aucune suite à son dossier. Après avoir visité nos solutions énergétiques en site isolé, il nous sollicite pour son besoin en électricité et eau.
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PEUT-ON PARLER DE MICRO INDUSTRIE SANS ENERGIE ?
Foppa Tadjukam
Bitchoua, le 21 août 2016

 

 

 

 

One thought on “SERONS-NOUS JUGES PAR NOTRE CAPACITE D’AIMER NOS VILLAGES?”

  1. Excellente mise en lumière du potentiel naturel de notre terroir!
    Que le flambeau d’espoir que porte ELEKSYSTEM avec talent, reveille nos consciences et brille pour toujours.

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